Toi, moi et ce qui nous lie : ce qui nous élève… ou pas !

A toutes ces fois où tu y croyais et ça n’a pas fonctionné. Et celles où ça a marché à un moment où tu te sentais déconnecté.

A toutes ces fois où on t’a fait douter de ta valeur, où on t’a rabaissé, diminué, fait sentir moins que tu n’étais.

Combien de fois as-tu dû te relever ? Seul, la plupart du temps.

Je m’interroge encore sur ce qui nous lie… Comment on collabore avec des gens qui exercent sur nous une certaine emprise ? Comment on arrive à l’accepter pour s’en libérer…

Je repense à toutes ces fois où « je n’y arrivais pas »… lâcher prise !

A ces liens qui nous enchaînent, qu’il importe de couper. A ceux qui nous tirent vers le haut… qui méritent d’être honorés.

A notre capacité de discernement. Briser les chaînes qui nous entravent. Ouvrir son cœur en dépit des peurs.

S’avouer vaincu. Ne pas savoir où aller. S’allonger. Se reposer. Et puis se remettre debout. Faire ce qui doit l’être.

Et toi dans tous ça ? Tu n’y pourras rien changer ! Le fossé entre nous est existentiel. Il n’est pas à combler !

Tu connais la phrase : « L’amour c’est donner quelque chose qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas. »

Extraordinaire ! On en est là. Regarder certains. En admirer. Puis revenir à soi. Et être avec ce qui nous manque.

Notre condition humaine. Notre vide existentiel.

Toi aussi t’es troué ! Même en homme, je te promets !

Des donuts, voilà ce qu’on est !

Qu’est-ce qu’on met entre nous ?

S’emboîter n’est pas suffisant !

S’asseoir l’un à côté de l’autre, pour commencer. Rêver. Ressentir.

Regarder dans la même direction.

Chérir le trou de l’autre et la manière qu’il a de s’en accommoder.

Ne pas tirer de ficelles.

Accueillir son ombre.

La sienne.

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