De nos ombres jaillissent des merveilles… Du genre de phrases à la mode !

Il y a nos pensées.  De celles qui passent. Avec ou sans trace. Celles auxquelles on accorde plus ou moins d’importance.

Il y a notre cœur. Le réacteur. De là tout part, se construit.

De toutes les formes multiples, plus ou moins identifiées, qu’on appelle AMOUR.

Il y a notre corps. Notre manière de ressentir, de bouger, selon comment on se laisse aller.

Il y a notre instinct. Dont on parle souvent moins. Celui qu’on apprend à réprimer pour vivre en société.

En ce nom, pour vivre ensemble, on apprend à intérioriser nos émotions, à ne pas les montrer, à se conformer, pour faire bonne impression.

La plupart du temps, pour se faire accepter. Vers une démarche d’intégration… pour ne pas être rejeté.

Un système bien ficelé. Quelque chose de bien carré… Dans lequel on veut faire rentrer l’humanité, dans toutes ses rondeurs… Quelle horreur !

A l’âge adulte, quand tu apprends à déconstruire tout ce qu’on t’a appris, quand tu retrouves ta flamme, ton corps, que tu apprends à t’aimer dans ton entièreté, avec tes défauts qu’on t’a si souvent demandé de masquer. Qu’est-ce que tu fais ?

Être soi dans une société normée. Quand tu n’as plus envie de t’habiller pour te sentir déguisée.

Un éléphant dans un magasin de porcelaine : une image aussi drôle que poétique pour parler de ce qui me semble être si tragique !

Dans ce tragique de situation, c’est le vécu qui prévaut !

Le pire c’est le fossé. Entre ce que tu perçois parfois et ce qui est.

Il en va de ton attention pour donner le ton !

Où va-t-elle ? Sur quoi ou qui se concentre-t-elle ?!

La discipliner chez toi, ça va. Qu’en est-il du monde environnant ?

De l’art de rester concentré, pour ne pas se laisser submerger.

Tes entrailles dans tout ça ?! De cette boue-là jaillira ta plume, ta patte, ta singularité.

De la fusion dont tu sors : l’émancipation comme trésor !

Personne au-dessus de toi sinon la loi ? Sur le papier. Celui qui nous relit. Celui qui nous unie.

Sans culture, que faire de notre véritable nature ?

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