Du contrat social et de l’art de penser par soi-même.

Dans quelle société veut on vivre ?

Je suis allée voir G O O G L E . Voilà, ce que j’en rapporte : « L’expression Contrat social désigne une convention tacite et librement consentie entre les membres du corps social, entre les gouvernés et les gouvernants, entre l’individu et l’ Etat. Cette convention permet aux hommes de coexister pacifiquement. »

Ce qui m’intéresse ? La coexistence et la paix.

Cette dite convention a pour but selon moi de nous prémunir de toute forme d’abus.

Quand sa propre existence est en jeu, il importe de remettre en question l’ordre établi.

La paix oui, avec soi-même pour commencer. Laisser aux autres la charge de s’occuper de la leur. Protéger son espace psychique et physique.

Quelles sont donc ces règles tacites qui nous unissent ?

« La théorie du contrat social est une conception philosophique de l’origine de l’État, qui repose sur l’idée que les hommes, à un moment donné, ont volontairement décidé de s’associer pour créer une société organisée et établir un pouvoir politique légitime. »

Ah ! De l’art de légitimer le pouvoir politique !

Je m’en vais voir succinctement notre ami Wiki et… voilà ce que je découvre :

« En philosophie politique, le contrat social est une théorie qui cherche à déterminer les fondements d’une société civile idéale qui se serait formée suite à un hypothétique « contrat » passé entre  individus consentants.

De quel contrat s’agit-il ? Qu’est-ce qui nous lie ? Qu’est-ce que faire société ? A quoi consentir pour cela ?

« Selon la théorie, la formation d’une association, entre la société et le souverain, réunis en un corps politique unique, permet de garantir la paix sociale mais aussi la légitimité du pouvoir. La doctrine du contrat social entend expliquer, d’une façon générale, l’origine du pouvoir politique, le commencement et différentes formes de sociétés politiques, l’établissement du pouvoir législatif et exécutif de l’État et son rapport avec la société civile. »

Mention faite de penseurs qui n’ont rien de contemporain… Ceux du contractualisme social, Épicure, Thomas Hobbes, John Locke et Rousseau…

Il est question d’enjeux essentiels :

• Assurer la sécurité des sujets en annihilant l’état de nature
• Sauvegarder la liberté et la propriété des sujets.

Les sujets peuvent rompre ce « contrat » quand l’Etat outrepasse ses fonctions. On y est !

Et après ? Le dire. Le dénoncer. Stopper un cycle d’abus. Retrouver sa liberté de penser. Et décider.

Humour faisant, je me plais à conclure : Bref, j’ai remis en cause Rousseau !

Sol In | Facebook