Une affaire de soie : entre intimité et société

Une affaire de tissu, de liens tissés, entre douceur et fermeté ! Du tissu social !

Etre soi en société ! Quelle idée ! C’est le cœur de la dynamo !

Entre retrouver sa femme sauvage et canaliser son énergie pour être avec les autres.

Grandir, ça c’est sûr ! Avec qui ? Dans quel environnement ?

Inspirer assurément…

Et chérir ses défauts… Oh oh oh !!!

Un jour à la fois. Parfois une heure. Pour une pause, bien méritée.

Peut-on être soi en société ? Si oui, comment ? Différemment.

Comme le disait un acteur que je chéris, c’est assez rare en fait d’être soi avec les autres. C’est une histoire d’intimité.

A partir du moment où on rentre en interaction avec d’autres personnes, on n’est plus vraiment soi puisque la relation prend le relai.

Entre ce qui se dit, ce qui se vit, ce qui est reçu, perçu, vécu… cet entre-soi qui fait qu’on n’est plus vraiment soi !

Ce qui fait que la relation nous transforme !

De l’importance de sortir de notre tête, de nos concepts, et de désapprendre tout ce qu’on a appris !

C’est ainsi qu’on devient soi. A travers l’autre. A travers nos frictions. Quand on est sorti des relations fusionnelles.

Quand on choisit de s’élever, avec les autres. Ce qu’est c’est chouette de se découvrir, de rire, de partager, de pleurer aussi !

De l’importance de nous (re)sensibiliser. De ressentir ce qui nous fait du bien. De prendre soin de nous. De nous faire plaisir.

Devenir soi en société c’est créer du lien. Prendre conscience de la richesse de l’altérité. La respecter. C’est grâce à elle qu’on s’édifie. Qu’on tombe aussi !

Tomber amoureux ! Sans s’oublier !

Être soi dans l’intimité. Ressentir les frissons de l’amour ! Mourir parfois. Pour mieux renaître. Et être, plutôt qu’avoir !

Abandonner. Tous nos combats. La vanité des choses. Se laisser capturer. Rêver les pieds sur terre. Taire les critiques.

Oui, au travers de mes déambulations, je réaffirme la distinction entre vie privée et vie publique.

Entre les attentes de la société et celles de l’intimité.

Je pense à tous ceux qui construisent, que je salue, avec qui je ne suis pas à l’aise dans une relation de proximité.

Une question de distance, de juste distance. De compréhension. De digestion aussi. De pardon.

De l’expression : garder ses distances ! De celle d’avoir envie de se rapprocher…

Au milieu, se trouve l’harmonie, l’équilibre. Ce fil tendu sur lequel on évolue.

Et toi, dans tout ça, où en es-tu ? T’es-tu trouvé ? Comment avances-tu ?

Avec ou sans bouée ? As-tu besoin d’être sauvé ?

Eve sans son Adam. Lui sans sa déesse !

Et entre eux, tout à inventer !

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