De l’art d’apprivoiser la vanité.
De l’art d’apprivoiser la vanité.
De l’art d’apprivoiser la vanité.
Un enthousiasme qui défie la vie. Quelle façade !
Une façon d’avancer avec les autres. Et puis une entrée en soi. Un retour chez soi. Après avoi fini de s’occuper de Pierre, Paul et Jacques.
Retrouver ses émotions. Ce qui n’est pas nous et qui vit tellement en nous.
Soudain, n’être plus au clair avec ce qui nous appartient et ce qui appartient aux autres. Tout en ayant conscience de l’impact que les autres peuvent avoir sur nous. Détonateur d’émotions ! Une bombe, qu’on se le dise !
Là n’est pas la question. Quoique c’est souvent une des raisons pour laquelle on veut nous éteindre. Triste reflet des jalousies de ce monde.
L’envie : un moteur comme un poison. Tout dépend de son utilisation !
S’apprêter à faire le nécessaire. Ce pour quoi on s’est si longtemps préparé : exister ! Vraiment, j’entends ! Tenter , au moins un instant !
Avec les mots par qualité humaine. Pour contrecarrer la bestialité qui dégueule parfois. Dire l’indicible. Essayer. Tenter. Encore une fois.
Qu’est-ce la vie sinon une éternelle tentative ?
Un journal, cela pourrait être. Dans une quête d’universel. Dans un drôle de rapport au temps où le sens n’a plus sa place. Dieu sait, même s’il n’existe pas, que la vie n’en a pas. Au même titre qu’on en a besoin.
Paradoxe… prison dont il s’agit de sortir !
Vaciller entre ses aspirations spirituelles, ses valeurs et son corps. Qu’en faire ? Un peu chaque jour… le remède !
De la vacuité du vide. De ce vide existentiel… qui nous fait pousser des ailes. Entre dépression et expression… Apothéose ! Allez, une dose !!!
Que faire du tourbillon interne qui, parfois, nous gouverne. Notre royaume. Notre temple. Ce dont on a prendre soin. Un gouvernail ? Une boussole. Une orientation. Une direction…
La bourrasque que cela crée ! Au contact des autres. De ceux, non initiés, qui osent s’approcher.
Ces autres, les ennemis ! Les détester ! C’est dire comme ils demandent à être aimés !
Quand on aime sa tranquillité, qu’on a appris à le faire, puis, à la préserver. A être en paix.
Quand on a appris à apprivoiser son vide, on rejette tous ceux qui veulent le combler.
Notre vide est vain, c’est certain. Il n’est pas à remplir.
Être femme sans être un réservoir, essaye un peu pour voir ?!
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