CRAIE ET TABLE, EAU ET TERRE…

La dualité, terrible dualité !!

Je sis tentée de demander comment te quitter… Comment t’accepter pour commencer ?!

Trop d’années (et sûrement pas assez !) que j’y travaille ! Aïe aïe aïe !!!

Rentrée faisant, ce n’est pas faute d’y revenir, la question persiste…

Qu’est-ce qu’on fait ? Comment on s’y prend ?! Aïe, prout, zut !!!

Médusés qu’on peut être devant tant d’absurdité. Et le monde est tel qu’il est.

« On ne le changera pas »… Alors quoi ?!

Coiffons-nous de nos plus belles parures. Revêtons nos armures…

Et puis voilà. A croire que c’est de cela dont il s’agit. Seulement.

D’autres se révoltent encore. Je ne joue pas un rôle ! Je suis moi. Tiens, c’est quoi ça ?!

Eternel Sunshine ! Effervescence des sens. Qu’est-ce qui fait sens ? Juste eux peut-être. Parfois…

Sentir, ressentir…

A n’en plus finir !

L’eau sur la peau…

La terre sous les pieds.

La craie sur le tableau ?

La continuité des idéaux…

Quand est-ce que ça s’arrête ? Toutes ces questions…

Quand on le décide ! Allons bon !

Voilà. c’est aussi simple que cela.

Rendre son tablier.

Démissionner.

S’unifier.

Prier !

Et après ?

Recommencer.

Sans faire semblant.

Allègrement, évidemment !

Repartir à zéro.

Se mettre à l’eau.

C’est ce qu’on fait tous les jours.

D’une certaine manière.

Encore et encore.

Avec tout son pesant d’or.

Dormir, assurément.

Pour mieux repartir.

Sans s’enfuir.

Juste vivre.

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