Boule à facettes, ce que nous sommes tous, normalement constitués, avec toute notre complexité…

Pour les autres, paix à leur âme ! En chaque âne, un cœur qui bat..

Et toi, planète chérie, c’est grâce à toi que nous sommes ici…

Qu’importe nos croyances, nos divergences…

Que faire de notre altérité ?

Au-delà des cases où l’on veut nous enfermer… Où l’on s’enferme parfois nous-mêmes… Si, si, sois honnête !!

Là où il faut aller… La direction à donner. Le cap ?!

C’est sans tenir compte de toutes nos belles aspérités… et du gap existentiel dont nous sommes constitués.

Le paradoxe est posé. Notre existence et les conditions de celles-ci… Paradoxe touchant : l’absurde et le génial !

De l’art de se séparer à celui de se reconstituer.

Après s’être tant abîmé pour se faire accepter.

La question de l’intégration est posée. Vers quel chemin aller pour s’intégrer parmi tant de méandres structuraux. La structure, le cadre, la discipline.

Au-delà des doutes, des tumultes, des vagues, vers où aller ?

Quand tu as tellement essayé, tu apprends à te laisser aller… puis à reprendre els rennes. De ton existence. Oui, ce n’est pas tous les jours Noël !

Quand tu as appris à te protéger… Evitant les coups, les attaques…  Que tu veux plus te laisser intimider…

Alors oui, la belle boule à facettes que tu es, il importe de la découvrir, de l’apprivoiser, pour pouvoir l’offrir au monde… et propager tout un tas de grandiloquentes ondes…

Et la boule dans la gorge ? Celle qui ressurgit quand ton cerveau et ton cœur sont en conflit…

La paix : le cœur. Le pouvoir de la respiration. Et de l’imagination prolifique !

De l’art de l’égarement pour se découvrir.

Et de celui de la découverte !

Quel est notre monde ?

Il y a le tien. Et le mien.

On en construit un ?!

Antoine, je pense à toi…

Et pas pour la sainteté de ton nom.

Pour l’éloge de l’amitié que tu nous a laissée.

Pour le cap donné : laisser parler notre âme d’enfant.

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